L’entreprise Faerch Plast, spécialiste de solutions d’emballages innovants, réalise pour la 14e année consécutive, une comptabilité environnementale. Cet outil de gestion permet à l’entreprise de faire concrètement le bilan des différentes mesures prises et des points à améliorer pour favoriser la protection de l’environnement.
C’est en 1996 que la société Faerch Plast se mobilise pour la première fois autour des questions de protection de l’environnement. Aujourd’hui, nous exigeons des entreprises qu’elles puissent rendre compte de leur empreinte écologique. Pionnier en la matière, le fabricant s’intéresse aux améliorations, qu’il peut apporter pour limiter le recours à des ressources naturelles.
Grâce aux mesures mises en œuvre et à un suivi rigoureux, et ce depuis 1996, l’entreprise a pu enregistrer une diminution de sa consommation énergétique de 29%, soit l’équivalent de la consommation moyenne d’environ 4300 ménages. D’ici 2013, l’entreprise a pour objectif l’utilisation directe d’énergies renouvelables. « Nous avons rempli notre objectif en 2009. Ainsi les énergies renouvelables représentent désormais 40 % des sources de notre consommation énergétique, et nous pensons également pouvoir relever le défi pour cette année, où l’objectif s’élève à 53 % », affirme le PDG de Faerch Plast, Lars Gade Hansen. En se basant sur les normes internationales pour le calcul d’équivalent « CO2 », Faerch Plast a pu constater que son impact total avait été réduit de moitié depuis 1996.
Par ailleurs, Faerch Plast souhaite aussi réduire sa consommation de matières brutes. Pour cela, elle s’est fixé un objectif de 30% d’ici 2013. « En collaboration avec nos clients, nous évaluons actuellement, s’il est possible de réduire le poids de nos emballages, sans en compromettre leurs propriétés. Et nous sommes confiants quant à l’objectif », poursuit Lars Gade Hansen. La société examine aussi la possibilité de remplacer une partie de la matière première par un plastique PET recyclable. Concrètement, Faerch Plast est en passe de remplacer une partie de sa matière première, par un matériau à base de bouteilles en plastique usagées, qui, une fois soigneusement nettoyées, répondent aux mêmes normes strictes d’hygiène que la matière brute initiale.
« Il est toujours possible de faire mieux», déclare le PDG. En 2009, nos résultats auraient pu être encore meilleurs, entre autres à cause de la substitution de certaines matières brutes. Or l’important pour nous est de pouvoir poursuivre nos efforts et de limiter l’usage des ressources naturelles. Je suis convaincu qu’à l’avenir, l’impact d’un produit sur le climat constituera un véritable atout concurrentiel. C’est pourquoi, nous continuerons à faire le maximum, pour trouver les solutions », conclut Lars Gade Hansen.
Communiqué Faerch Plast – Pleins feux sur l’environnement (la comptabilité verte)